L'ADN environnemental pour l'étude de la biodiversité. État de l'art et perspectives pour la gestion
Croisant les éclairages des spécialistes de l’ADN environnemental (ADNe) et de ses premiers utilisateurs, les contributions présentées lors de ce séminaire précisent le champ d’application, les avantages et les limites de ces techniques émergentes. Synthèse.
Synthèse du séminaire « L’ADN environnemental : une révolution pour la gestion de la biodiversité aquatique ? » organisé par l’Agence française pour la biodiversité (AFB), à Paris, le 18 octobre 2017.
Sommaire
- Le 1er chapitre rappelle les fondements scientifiques et techniques de l'ADNe,
- Le 2e chapitre illustre, à travers plusieurs travaux de recherche aux résultats contrastés, les possibilités actuelles et les perspectives de l'ADNe pour l'étude de divers groupes faunistiques,
- Les 3 chapitres suivants, toujours appuyés sur les retours d'études récentes, précisent le potentiel de mise en oeuvre de l'ADNe dans des applications de gestion, comme alternative aux échantillonnages piscicoles traditionnels, comme outil au service de la gestion des espèces exotiques envahissantes, et pour une utilisation en routine au service de la bioindication pour la directive cadre sur l'eau (DCE).
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