APR Fonctionnalités des milieux terrestres et efficacité des pratiques de gestion
L’Agence française pour la biodiversité (AFB) et le Centre méditerranéen de l’environnement et de la biodiversité (Cemeb), représenté par l’Université de Montpellier, ont lancé cet appel à projets de recherche (APR) pour soutenir des projets de recherche appliquée portant sur la fonctionnalité des milieux terrestres en France (métropole et outre-mer), et permettant de venir en appui aux gestionnaires pour améliorer l’efficacité de leurs mesures de gestion.
Plus précisément, l’objectif des travaux de recherche est de développer des connaissances et d’apporter une meilleure compréhension des fonctionnements des écosystèmes terrestres dans un contexte de changements climatiques et de pression anthropique accrue, permettant de contribuer à l’évaluation de l’efficacité des pratiques de gestion.
Cet APR vise à développer les connaissances et apporter une meilleure compréhension des fonctionnements des écosystèmes terrestres dans un contexte de changements climatiques et de pression anthropique accrue, permettant de contribuer à l’évaluation de l’efficacité des pratiques des gestionnaires d’espaces naturels.
Les projets de recherche pourront proposer par exemple, de manière non exclusive et non exhaustive, un état de l’art permettant de faire progresser les réflexions concernant la gestion d’espaces naturels terrestres, ou la réalisation d’une étude basée sur des expérimentations déjà mises en place ou à développer sur des espaces naturels gérés, ou encore des méthodes menant à la construction d’indicateurs fonctionnels.
Les résultats obtenus dans ce cadre devront être valorisables et transférables à d’autres territoires et diffusés au plus large public.
Cet APR est doté d’une enveloppe d’un montant de 340 000 euros nets de taxe permettant de financer quatre projets de recherche qui devront débuter en 2019. Il pourra financer jusqu’à :
- deux projets d’un montant maximal de 60 000 € (identifiés comme « financements A1 et B1 »)
- deux projets d’un montant maximal de 110 000 € (identifiés comme « financements A2 et B2 »)